Né dans les années 60 et dans le bassin métallurgique liégeois ….
Epoque pleine d’effervescence pour le métal…
Peut-être est-ce là le point de départ ….

L’arrière-grand-père que nous avons côtoyé quelque peu, surnommé grand-papa d’Ans, époux de Mme Philippart et ardent entrepreneur en horticulture…

Son portrait trône au-dessus du bureau familial et on en est fier… Peut-être est-ce là un autre point de départ…

L’arrière grand-père que nous avons côtoyé quelque peu, surnommé grand papa d’Ans, époux de Mme Philippart et ardent entrepreneur en horticulture…

Son portrait trône au-dessus du bureau familial et on en est fier… Peut-être est-ce là un autre point de départ…

Le début des
ascenseurs

Découverte et début de la vie professionnelle en août 1985, par hasard…
Le désir était avant tout de continuer des études, mais l’âge de la majorité avait été atteint….

Le parcours scolaire a connu quelques moments chaotiques
L’expérience débute par une carrière de technicien ascensoriste au travers d’un diplôme d’électricien industriel décroché un peu … par hasard…

À l’époque, la littérature du 16ème siècle, enseignée par un génial professeur nommé Albert Taton, était plus inspirante que l’algèbre de Boole et le théorème de Thévenin…
Quoique, les mathématiques et leurs applications ont été et sont toujours captivantes… et nous ont bien servi par la suite dans le développement de nos produits.

Bref, donc par accident, je découvre le domaine des ascenseurs qui est, et a toujours été passionnant.
Ce métier marie plusieurs spécialisations, dont l’électricité, l’électronique, la pneumatique, l’hydraulique, l’oléodynamique, la mécanique, l’usinage et… la tôlerie.

C’est au travers de cette longue carrière de quasi 40 années au sein de l’entreprise Ascenseurs Rensonnet que la tôlerie a toujours été présente.
Au départ, dans les années 80, c’était le monde de la sous-traitance, tous les ateliers liés aux usines fermaient les uns après les autres.

Le début des
ascenseurs

Découverte et début de la vie professionnelle en août 1985, par hasard…
Le désir était avant tout de continuer des études mais l’âge de la majorité avait été atteint….

Le parcours scolaire a connu quelques moments chaotiques
L’expérience débute par une carrière de technicien ascensoriste au travers d’un diplôme d’électricien industriel décroché un peu ….par hasard…

A l’époque, la littérature du 16ème siècle enseignée par un génial professeur, nommé Albert Taton, était plus inspirante que l’algèbre de Boole et le théorème de Thévenin…
Quoique, les mathématiques et leurs applications ont été et sont toujours captivantes…et nous ont bien servi par la suite dans le développement de nos produits.

Bref, donc par accident, je découvre le domaine des ascenseurs qui est, et a toujours été passionnant.
Ce métier marie plusieurs spécialisations dont l’électricité, l’électronique, la pneumatique, l’hydraulique, l’oléo-dynamique, la mécanique, l’usinage et… la tôlerie.

C’est au travers de cette longue carrière de quasi 40 années au sein de l’entreprise Ascenseurs Rensonnet que la tôlerie a toujours été présente.
Au départ, dans les années 80, c’était le monde de la sous-traitance, tous les ateliers liés aux usines fermaient les uns après les autres.

« Tu verras mi fi,
tu vas faire une bonne affaire.
 »

Par la force des choses, nous avons donc rencontré de nombreux ferronniers dont un en particulier nous a transmis le virus.

Il s’agit de Joseph Creuven, il avait un atelier de transformation et de fabrication à Retinne. De par notre métier, nous l’avons visité à plusieurs reprises et une bonne entente s’était installée entre nous.

Été comme hiver, dans la chaleur ou dans le froid qui régnait dans son hangar métallique, Joseph maîtrisait son métier comme personne d’autre, c’était un véritable artisan et surtout il était gentil comme tout.

Un Liégeois quoi…
À la fin de sa carrière, atteignant les 80 années, il nous propose de reprendre son parc de machines…
Je l’entends encore…

Une belle
croissance

En effet, notre petite entreprise d’ascenseurs avait grandi, la majorité des frères et sœurs nous a rejoints dans le projet en 2002.

Nous étions occupés à construire un nouveau bâtiment sur le zoning de Waremme afin d’accueillir nos activités, le volume d’affaires connaissait une belle croissance.

Après quelque réflexion, nous avons opté pour l’acquisition du parc de machines de Joseph. Nous voici donc équipés d’une cisaille Dutranoit de 1924, de presses Raskin des années 50, d’une plieuse LVD de 1968, de postes à souder, bref, de tout ce qu’il faut pour débuter le métier de la tôlerie.

Pour la petite histoire, une semelle de fondation de 80 cm de béton a été réalisée à l’endroit de fixation de la cisaille… Nous avons donc expérimenté le métier et passé un paquet d’heures dans notre atelier. À l’époque et vu nos faibles moyens, rien n’était automatisé. Nous réglions manuellement nos butées sur notre plieuse en ayant tracé les lignes de pliage au préalable… on apprenait le métier sur le tas, comme on dit. On apprenait ce qu’était le bombage… et un tas de choses très intéressantes, la passion quoi !

Nous sommes fiers de réalisations comme les ascenseurs, monte-charges, escalators et trottoirs roulants installés pour les Ikea de Liège et Zaventem, les ascenseurs panoramiques du plan incliné de Ronquières , mais aussi de nombreux bâtiments à étages dans les régions wallonne et bruxelloise.

Tout était fabriqué dans nos ateliers, 100 % belge.
Au total, nous avons transformé et/ou fabriqué plus de 1 400 ascenseurs sur le territoire belge, mais également fabriqué quelques exemplaires pour le continent africain.

Pour celles et ceux qui visiteraient cette ville, un de nos appareils fabriqué chez nous se situe dans le hall d’entrée principal du palais de justice de Kinshasa.

Une belle
croissance

En effet, notre petite entreprise d’ascenseurs avait grandi, la majorité des frères et sœurs vont nous rejoindre dans le projet en 2002.

Nous étions occupés à construire un nouveau bâtiment sur le zoning de Waremme afin d’accueillir nos activités, le volume d’affaires connaissait une belle croissance.

Après quelque réflexion, nous optons pour l’acquisition du parc de machines de Joseph. Nous voici donc équipés d’une cisaille Dutranoit de 1924, de presses Raskin des années 50, d’une plieuse LVD de 1968, de postes à souder, bref de tout ce qu’il faut pour débuter le métier de la tôlerie.

Pour la petite histoire, une semelle de fondation de 80 cm de béton a été réalisée à l’endroit de fixation de la cisaille…Nous avons donc expérimenté le métier et passé un paquet d’heures dans notre atelier.A l’époque et vu nos faibles moyens, rien n’était automatisé. Nous réglions manuellement nos butées sur notre plieuse en ayant tracé les lignes de pliage au préalable, …on apprenait le métier sur le tas, comme on dit.On apprenait ce qu’était le bombage… et un tas de choses très intéressantes, la passion quoi !

Nous sommes fiers de réalisations comme les ascenseurs, monte-charges, escalators et trottoirs roulants installés pour les Ikea de Liège et Zaventem, les ascenseurs panoramiques du plan incliné de Ronquières  mais aussi de nombreux bâtiments à étages dans les régions wallonne et bruxelloise.

Tout était fabriqué dans nos ateliers, 100% belge.
Au total, nous avons transformé et/ou fabriqué plus de 1400 ascenseurs sur le territoire belge, mais également fabriqué quelques exemplaires pour le continent africain.

Pour celles et ceux qui visiteraient cette ville, un de nos appareils fabriqué chez nous se situe dans le hall d’entrée principal du palais de justice de Kinshasa.

Depuis 2018, nous nous sommes diversifiés et avons proposé notre savoir-faire à d’autres domaines d’activités comme l’aéronautique, les charpentes métalliques, le domaine automobile, les ferronneries, la pharmaceutique, les artisans, les fabricants de poêles, etc.

Notre entité pour ces activités est l’entreprise Amicis.

Désormais, depuis 2024, nous proposons également notre expertise aux particuliers au travers de notre gamme Amonea. Celle-ci propose des objets de plaisir, de décoration, mais également d’utilité.

Le monde change sans arrêt,
surtout à l’heure à laquelle je vous écris

« C’est ça la vie d’entrepreneur ».

Votre dévoué et fondateur Marc Rensonnet.